top of page
Rechercher

« Jambes cassées, cœurs brisés » de Maria Ernestam aux éditions Babel

quandleslivresnousparlent



Un petit village en Suède.


De jolies petites maisons apprêtées pour les fêtes.


Un paysage sous la neige et au bord de la mer.


Des chocolats chauds, des biscuits de Noël, des brioches au safran. Tout plein de douceurs accompagnent la lecture de ce livre parfait pendant les moments de fête.


Il y a les chants de Noël, les traditions de l’avent, les décorations qui scintillent et au milieu de cette ambiance festive, des catastrophes en cascade pour notre héroïne.


Comment profiter des préparatifs des fêtes, quand on a son ex qui débarque devant sa porte, sa mère qui a déjà planifié la journée du 24 à la minute près, sa sœur en pleine crise d’hystérie, sa meilleure amie en galère, une fuite dans la cuisine, une nouvelle coupe de cheveux sauvée in extremis et pour finir l’arrivée d’un nouveau collègue qui s’apprête à piquer quelques heures de cours ?


Ce sont les premiers jours de décembre et le début des galères pour Lisbeth. Tout s’enchaîne, et pourtant avec de petits arrangements avec la vérité et surtout de gros mensonges, Lisbeth va tenter de se dépêtrer de toutes ces catastrophes.


Grâce à la magie de Noël, beaucoup de douceurs sucrées et de beaux moments d’amitié, les petits et gros soucis vont tenter de se régler. Et si finalement, ils étaient arrivés dans la vie de Lisbeth, pour qu’enfin, elle s’affirme, qu’elle ose être elle-même ?


Une comédie drôle et bienveillante.


Des moments forts d’amitié, de réconciliation et même un peu d’amour. C’est la magie des fêtes.


Une histoire à savourer pendant les festivités !


Je vous souhaite à toutes et à tous de très belles fêtes de fin d’année.


Les passages du livre qui m’ont touché :


« Ne pas pleurer sur du lait renversé, une de perdue dix de retrouvés, qui ne tente rien n’a rien. Oui, il y avait pléthores d’adages pour dire que l’on pouvait se relever, s’ébrouer et continuer. »


« On ne pouvait jamais savoir. Mais on pouvait espérer, croire et lutter pour le droit de chacun à être soi-même. On pouvait se battre pour les enfants, les jeunes et les moins jeunes, les vieux et les très vieux, on pouvait clamer haut et fort que la dignité humaine était sacrée et que c’était la règle à laquelle tous devaient se tenir immanquablement. On pouvait en même temps être soi-même, la version de soi-même que l’on aimait et dont on était fier, celle dont on croisait volontiers le regard dans la glace avant de sortir dans la nuit de décembre, par exemple. »


Et vous, quel passage vous a parlé ?

10 vues0 commentaire

Posts récents

Voir tout

Comments

Rated 0 out of 5 stars.
No ratings yet

Add a rating
  • Instagram

Formulaire d'abonnement

Merci pour votre envoi !

©2021 par Quand les livres nous parlent. Créé avec Wix.com

bottom of page