De la vitesse, des kilomètres avalés et des paysages à couper le souffle.
Une envie de liberté.
Une amitié à la vie, à la mort.
À Providence, Hugo survit entre des parents qui n’ont pas d’amour pour lui et des collèges où il ne se sent pas à sa place. Quand sa dernière chance réside dans un collège privé, Hugo s’y traîne et réfléchit à comment se faire virer le plus rapidement.
Les choses ne se passeront pas comme prévu. Hugo rencontre Freddy, puis Oscar et Alex. Tous les quatre deviennent inséparables et continuent ensemble leurs bêtises de plus en plus illégales pour des gamins de 16 ans mais qui les font toujours autant rire. Ils forment une famille.
Quand Freddy fait découvrir à Hugo les joies de la vitesse sur la moto de son frère, c’est une nouvelle page qui s’ouvre.
Et les quatre vont commencer ensemble leur passion pour la moto.
Un départ de Providence. Une nouvelle route à trois. Un départ sur les routes du pays. Une envie de vivre libre.
Sur les chemins, Hugo, Oscar et Alex font de nouvelles rencontres, sympathisent avec d’autres motards, d’autres passionnés de vitesse et de cylindres. Ensemble, ils vont créer leur club. Ensemble, ils vont surtout continuer leurs bêtises, l’alcool et la drogue.
Hugo est confiant, les hommes qui l’entourent sont ses frères et ensemble, c’est loyauté, honneur et respect. Mais jusqu’où ? Jusqu’à quel point peut-on aimer son frère sans le trahir ?
Un roman passionnant sur l’amitié, les valeurs des motards, le besoin de liberté.
Les passages du livre qui m’ont touché :
« Dans ces lettres, on se disait des choses qu’on prend jamais le temps de se dire dans la vie, et on a fini par se construire un monde à nous, avec des mots à nous (…) »
« Toutes ces phrases que j’écris, j’ai peur que ça s’efface, avec le temps. Le crayon, c’est comme l’amitié, ça tient pas toujours bien. »
Et vous, quel passage vous a parlé ?
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